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Fonctions syntaxiques des adjectifs. 2 страница



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¨ être employé dans une fonction distinctive distinguant des significations de l’Adj.: comparez : Cela est bon et Cela est bon à jeter ; Il est groset Cet événement est gros de conséquences ;

¨ être soumis à la lexicalisation où l’Adj. et son extension forment un tout sémantique : faible d’esprit ;

¨ se désémantiser formant une sorte de préposition composée ; p. ex. plein de indique la présence dans la forme généralisée et est égal à un affixe : un ciel plein d’étoiles (=un ciel étoilé).

Parfois l’extension de l’Adj. se trouve sémantiquement superflue et sert à souligner la caractérisation : un homme laid (à voir) ; une femme belle (de visage).

6. Adjectivation et désadjéctivation.

6.1. Formation affixale des adjectifs.A l'aide des affixes
les adjectifs se forment des noms (voir les affixes p. 65 ci-dessus), les verbes : suffixes -ble (lisible), -ard (vantard), -if (portatif), et autres, y compris le moyen parasynthétique : in-... -ble (invincible, sans in- ces adjectifs ne s'emploient pas) ; des autres adjectifs pour exprimer le degré de la propriété : -ot(pâlot), -et (propret), -âtre (verdâtre). On voit assez souvent la formation de l'adjectif du caractère suppléé à la base du radical de l'origine « savante» : lieu - local ; dire - indicible.

6.2. Conversion. N à Adj. C'est un moyen très répandu de
la formation des adjectifs.

Il existe 4 variantes d'interprétation du groupe N1 + N2 (robe sport, position clé):

1) N1 + N2 - groupement de mots :

a)N2 - un adjectif ;

b)N2 - un substantif en apposition, en fonction
adjectivale ;

2)N1 + N2 - un seul mot :

a)un mot composé ;

b)un mot dérivé où N2 est un suffixe.

La différence entre un groupement de mots et un mot est d'habitude déterminée graphiquement par la présence ou l'absence du trait d'union. Au sein d'un groupement de mots N2 est soumis au différent degré d'adjectivation. On voit l'adjectivation la plus complète à son accord avec N: des pays amis. L'adjectivation partielle se manifeste à l'absence de l'accord mais à la présence d'intensificateurs : un garçon trèssport. D'autres marques de l'adjectivation sont :

1)une construction comparative : Il est moins paysanque moi ;

2)la similitude syntaxique avec un Adj. en fonction d'épithète : Un salon original, bien neuf, très vivant et très artiste;

3)l'acquisition par le mot d'une signification abstraite, tels
que : pilote, témoin, type, modèle etc.

6.2.1. V à Adj. Ce type de conversion touche les participes
qui tout en étant des formes adjectivales du verbe passe facilement en Adj.

6.2.2. Adv. à Adj.Les deux PdD coïncident dans certaines
fonctions, p. ex. les Adv. sont employés après le verbe copule : Ces jours sont loin; C'est bien.L'adjectivation des Adv. se réalise en deux cas :

 

a)après le verbe être à la détermination d'un sujet concret :
Cet homme est très bien;

b)auprès un N : un homme bien; son départ soudain ; la presquetotalité ; une place arrière; une roue avant.Puisque le déterminant ne s'accorde pas ici avec le déterminé, la double interprétation de la forme est possible : on y voit ou bien un Adj. invariable ou bien un Adv. en fonction de l'Adj. et alors on est en présence d'une transposition syntaxique.

6.3. Désadjéctivation.Un Adj. peut passer par la voie de la conversion dans un N (un petit), un Adv. (travailler ferme),des prépositions (// a des bonbons pleinles poches), des particules modales et des interjections (Bon, je suis d'accord ; Sûr, je viendrai).

 

7.0. Problème des numéraux en tant que partie du discours.En grammaire théorique française on a avancé cinq points de vue différents sur les numéraux comme partie du discours :

¨ tous les numéraux –cardinaux aussi bien que ordinaux - sont inclus dans classe des déterminatifs avec les possessifs et démonstratifs [ 69; 47];

¨ les numéraux - ordinaux aussi bien que cardinaux – forment une parties du discours autonome [ 59 ] ;

¨ les cardinaux représentent une PdD à part et les ordinaux se rattachent aux adjectifs [ 4 ];

¨ les cardinaux se rattachent aux déterminatifs et les ordinaux aux adjectifs [ 60 ] ;

¨

à la suite de l’absence des caractéristiques communes chez les mots numériques et leurs dérivés, ils ne sont envisagés qu’un groupe sémantique de mots [ 37 ; 33 ].

Une partie du discours est déterminée à la base de trois caractéristiques : morphologique, syntaxique et sémantique. Leur interaction et interdépendance se manifestent de la façon évidente dans la sphère des numéraux. Les cardinaux et les ordinaux s’unissent par la signification commune de nombre. Mais leurs caractéristiques grammaticales sont différentes. Les ordinaux ne se distinguent en rien des adjectifs, ils s’unissent avec les déterminatifs : faire ses premiers pas ; enfant d’un premier mariage ; La Première Guerre mondiale. Voilà pourquoi il faut les considérer comme une classe sémantique des adjectifs relationnels. Tout autrement se conduisent les cardinaux. Ils peuvent remplacer les déterminatifs se distinguant par cela des adjectifs (deux hommes), mais ils peuvent aussi être employés avec les déterminatifs (mes deux frères ; les deux hommes). Ils peuvent se trouver en position du N mais n’exigent pas dans ce cas d’article : deux et deux font quatre. Par leurs caractéristiques syntaxiques (distributives) et morphologiques les cardinaux ne ressemblent ni aux déterminatifs, ni aux adjectifs, ni aux substantifs et doivent être considérés comme une PdD à part.

 

7.1. Sémantique des numéraux.La significationcommune des numéraux est la représentation d’un nombre concret. Une quantité abstraite ou indéterminée est exprimée par les N (quantité, multitude), Adj. (nombreux), déterminatifs (plusieurs), Adv. (beaucoup). Parfois le numéral souffre une mutation sémantique et exprime une quantité indéfinie ou l’intensité. Cela se manifeste dans des phraséologismes avec les numéraux : 2 (dire deuxmots à qn), 3 (un trois fois rien), 4 (à quatre pas), 7, 20, 36 (faire voir trente-six chandelles), 100 (cent fois pire), 1000 (souffrir mille morts). Deux cardinaux liés par la conjonction ou expriment une petite quantité indéfinie : Il y a trouvé cinq ou six personnes.

7.2. Particularités morphologiques.Le numéral n’a ni catégorie du genre (à l’exception de un, une) ni celle du nombre. Seuls vingt et cent reçoivent -s dans certains cas : quatre-vingts pages , mais quatre-vingt-deux ou page quatre-vingt.

 

7.3. Particularités syntaxiques.Le numéral unit certaines caractéristiques et fonctions de différentes PdD :

¨

pareils aux s u b s t a n t i f s ils ont les fonctions : desujet et de complément (deux et trois font cinq), d’attribut (nous sommes trois), de Ccirc. et d’épithète prépositionnelle (travailler à quatre ; règle de trois) ; ils peuvent subordonner un autre N avec un déterminatif : un (quatre) de mes amis ;

¨ pareils aux d é t e r m i n a t i f s ils peuvent actualiser le N de la façon autonome : deux grandes maisons (comme ces grandes maisons). Employés sans article, ils ont la signification d’un déterminatif indéfini : Il a trois soeurs à Il en a trois;

¨ pareils aux a d j e c t i f s ils peuvent s’agencer avec les déterminatifs : les deux livres ; ces trois maisons, mes deux amis ;

¨ pareils aux a d v e r b e s q u a n t i t a t i f s ils peuvent subordonner un N : quatre de mes amis (comme beaucoup de mes amis) ;

La dénomination de la quantité représente la fonction p r i m a i r e des cardinaux. Dans leurs fonctions secondaires ils sont employés à la place des ordinaux : page cinq, le dix janvier, l’an mil neuf cent soixante-dix-huit.

7.4. Passage des numéraux aux autres classes de mots. D’habitude un numéral est transposé en un N et avec cela il y a des degrés différents de la substantivation :

¨ substantivation syntaxique a lieu à l’emploi anaphorique du numéral : Il a invité une douzaine d’amis. Trois n’ont pu venir. Ici trois remplace trois amis et avec cela le numéral ne change pas sa signification. La substantivation pareille dite « faible» se manifeste à l’omission des substantifs évidents de la situation (à la dénomination du temps, des dates, des sommes d’argent etc.) : Il viendra entre six et sept ; je l’ai vue en 1983 ; la guerre de 14 ; d’ici en quinze;

¨ à l’étape plus avancée de la substantivation le numéral re-

çoit un article. Cela a lieu à la dénomination des jours (Revenez le treize), les numéros des maisons, des étages de l’appartement (Il habite au 19), des itinéraires de transport (Prenez le quatre-vingt-quatre) etc. ;

¨ la substantivation encore plus avancée a lieu quand le numéral dénote non la quantité ou l’ordre de l’objet, mais l’objet même. Ce sont les cas de la dénomination des chiffres, des notes, des cartes de jeu, des marques des autos etc. : Il a reçu un deux ; chiffre formé de trois cinq ; le quatre de trèfle ; Il a vendu sa quatre cent cinq; faire des huit (mais avec l’absence de –s au pluriel !)

 
 

 


Conférence VI

 

PRONOM

Plan

 

1. Pronom en tant que partie du discours.

2. Sémantique des pronoms.

3. Caractéristiques syntaxiques des pronoms.

4. Catégories grammaticales et formes des pronoms.

5. Groupes sémantiques des pronoms.

6. Pronominalisation et dépronominalisation.

__

 

1.0. Pronom en tant que partie du discours. Les pronoms représentent une partie du discours à part en raison de leur sémantique, leurs formes syntaxiques et leurs catégories grammaticales exprimées. En français les pronoms possèdent des particularités spécifiques. Les problèmes théoriques liés aux pronoms sont :

¨ le bien-fondé du détachement des pronoms en une partie du discours à part ;

¨ division des pronoms en éléments nominaux (именные) et représentants (заместители) et le statut de ces deux groupes au sein des pronoms ;

¨ inclusion dans la classe des pronoms des déterminatifs possessifs et démonstratifs (mon, ton, ce etc.) ;

¨ nature des pronoms conjoints (je, tu etc.).

Sans nous arrêter en détails sur différents points de vue concernant la nomenclature des pronoms, constatons que leurs caractéristiques sémantiques, grammaticales et communicatives communes permettent de distinguer 6 classes lexico-grammaticales de pronoms : personnels (y compris réfléchi), possessifs, démonstratifs,interrogatifs, relatifs et indéfinis. Elles (les classes) se distinguent avant tout par le moyen de la détermination - implication de la référence (указание на референт), à quoi sont liées leurs particularités sémantico-grammaticales. Les trois premières classes dénotent un objet en le référant aux interlocuteurs ce qui se manifeste par la catégorie de la personne (personnels et possessifs) ou par la catégorie de démonstration (указательности) - référence spatiale ou temporelle aux interlocuteurs. Les trois dernières ne possèdent pas cette signification de la référence aux interlocuteurs : les interrogatifs et les relatifs trouvent leur référence par le lien avec sa source sémantique exclusivement, et les indéfinis ont une référence indéfinie.

Puisque les pronoms en leur ensemble reflètent la situation de la parole et servent «à faire passer la langue dans la parole » [ 31 ] , la classe centrale est représentée par les pronoms personnels exprimant la référence aux interlocuteurs à l’état pur et, en même temps, de la façon la plus différenciée.

 

2.0. Sémantique des pronoms.A la différence des autres PdD le pronom ne nomme pas directement un objet, mais l’indique dans les conditions de l’acte de la parole donné. Tout acte de la parole est caractérisé par la distribution des rôles entre les interlocuteurs, le temps, le lieu, le rapport avec les énoncés précédent ou suivant ce dernier.

Il existe deux moyens de l’indication indirecte d’un objet :

¨ deixis - l’indication du point de vue du sujet parlant se trouvant au centre de la situation de la parole. Cette fonction est propre avant tout au pronoms personnels à la I ère et la II ème personne, aux possessifs et aux démonstratifs. Dans la phrase Je prends celui-ci le mot je renvoie au sujet parlant prononçant cette phrase et celui-ci renvoie à l’objet qu’il indique ;

¨ anaphore– l’indication de l’objet par le renvoi à sa dénomination précédente ou (plus rarement) suivante dans le texte. Voyez cet homme bizarre ! Le connaissez-vous ? Le mot le dénote le même objet que cet homme bizarre. La fonction anaphorique est propre surtout aux pronoms à la IIIème personne, possessifs, interrogatifs et relatifs. La substitution de la dénomination directe par le pronom s’appelle représentation, et les pronoms correspondants – substituts ou représentants.

Souvent les pronoms peuvent unir ces deux types de référence. Dans la phrase Appelle ton frère, Pierre. Je vous demande de m’aider dans mon travail le pronom vous a en même temps la fonction déictique indiquant le participant de l‘acte de la parole (Pierre), et la fonction anaphorique renvoyant à la personne nommée précédemment (ton frè-re). Les possessifs et les démonstratifs aussi unissent ces deux fonctions.

2.1.De cette façon, anaphore est le rapport entre un pronom et le mot ou le groupement de mot que le pronom remplace. Le mot remplacé s’appelle antécédent ( F. Brunot [36] ) ou source sémantique ( L. Tesnière [ 67 ] ). L’antécédent et le pronom, se rapportant au même objet de la réalité (à la même référence), on les appelle coréférentiels. La coréférence est la corrélation des dénominations différentes avec la même référence au sein du texte.

La substitution d’un N par un pronom est soumise aux règles spéciales. Tout d’abord il faut souligner que le pronom substitue non un N seul, mais tout le groupe nominal : le N avec ses caractéristiques : C’est du lait bouillant qu’il te faudrait. Mais je n’en ai pas (en =du lait bouillant). D’autre part, le pronom ne peut pas remplacer un N ayant perdu sa substantivité : p. ex. : Il a eu peur à * Il l’a eu ; Prendre la fuite à * La fuite qu’il a prise. Mais un N sans article peut être substitué par un pronom quand il ne perd pas sa substantivité, p. ex., après les mots quantitatifs avec la préposition de : On alla chercher un paquet de lattes. Charles en choisit une.

La règle générale de l’anaphore se manifeste en ce que le N et le pronom s’excluent l’un l’autre dans la même position : * Pierre il parle. A l’écart de cette règle l’anaphore reçoit une des deux fonctions secondaires : structurale ou stylistique:

¨ la fonction structurale se manifeste en inversion complexe dans l’interrogation : Pierre viendra-t-il ?

¨ la fonction stylistique se manifeste dans les moyens de la mise en relief : Pierre, lui, sait tout ; Pierre, il est venu.

2.1.1. Types d’anaphore.Il existe différents types structuraux et sémantiques d’anaphore.

2.1.1.1. Types structurauxse distinguent en fonction de la position mutuelle du pronom et de la source sémantique. Il y en a deux :

¨ reprise (anaphore dans le sens étroit du mot) – le pronom suit la source sémantique : Nous avons fait un bon voyage, on s’en souviendra ;

¨ anticipation (cataphore) – le pronom précède la source sémantique : On s’en souviendra, de ce voyage.

2.1.1.2. Types sémantiquesdépendent de la corrélation des significations de la source sémantique et du pronom. On en distingue deux :

¨ anaphore adéquateoù le pronom reproduit tout le volume notionnel de l’antécédent : J’aurais voulu appeler l’infirmière; j’essayai plusieurs fois ; ellene venait pas ;

¨ anaphore non adéquateoù le pronom, ayant la même

référence que l’antécédent, ne reproduit pas le même volume notionnel. P. ex. dans : On alla chercher un paquet de lattes. Charles en choisit une (unicité/pluralité) ; Ce livre n’est pas le mien (+appartenance) ; J’ai acheté une Toyota. Elles sont robustes (élément/classe) ; La voiture du directeur est plus commode, mais celles de ses adjoints sont plus rapides (est répétée une voiture seule, mais d’autre part unicité/ pluralité) ; Dans le Midi il fait beau depuis deux mois. Eh bien ! Ils en ont, de la chance (Riegel et al. [ 60 ] ). (anaphore basée sur les rapports métaphoriques lieu d’habitation/habitants).

3.0. Caractéristiques syntaxiques des pronoms.Les pronoms remplissent dans la proposition les mêmes fonctions syntaxiques que le N. Ils peuvent substituer toute autre PdD ou même toute une proposition si elles possèdent la fonction d’un N. Les fonctions syntaxiques des pronoms : sujet (Il vient), Cod (Je le vois), attribut (Etes-vous médecin ? – Oui, je le suis), Coi (Je ne crois pas à cela), complément du N, de l’Adj., du pronom (une lettre de lui ; facile pour moi ; chacun d’eux) ; Ccirc. de cause, de lieu etc. (Il en est tombé malade ; Il vient d’y arriver).

En français les pronoms jouent un rôle important dans l’organisation syntaxique de la proposition. Les pronoms personnels conjoints remplissent les valences syntaxiques du verbe contribuant à la plénitude du syntagme verbal. Les pronoms démonstratifs celui, ce sont employés pour la substitution d’un N dans le groupe nominal. Reliant les propositions entre elles, les pronoms reçoivent la fonction structurale dans l’organisation de l’unité superphrastique et du texte.

 

4.0. Catégories grammaticales et formes des pronoms.Il existe sept catégories communes se manifestant dans différents groupes de pronoms : substantivité/non substantivité, caractère animé/ inanimé, détermination, nombre, genre, fonction syntaxique, indépendance/non indépendance. Il y a aussi les catégories spécifiques pour les groupes isolés : personne (personnels et possessifs), démonstration (démonstratifs), corrélation (corrélatifs) et autres. Dans la plupart des cas ce sont des catégories classificatoires ; seuls le genre et le nombre sont des catégories modificatoires.

Ces catégories sont distribuées de la façon inégale entre les classes de pronoms et à l’intérieur des classes. Le genre et le nombre se distinguent chez les pronoms relatifs dits composés (lequel - laquelle - lesquelles), mais ne se distinguent pas chez les autres (qui). Plusieurs formes sont polyfonctionnelles (nous a toutes les quatre fonctions remplies par quatre formes différentes à la IIIème personne masculin: ils-leur-les-eux).

4.1. Substantivité/non substantivité.Les formes substantivales des pronoms indiquent la référence (l’objet) dénoté par un N. Les formes non substantivales sont corrélées aux autres parties du discours : Adj. infinitif, proposition entière, N désubstantivisé. Ils indiquent aussi «une référence non nommée». La signification de la non-substantivité se manifeste dans l’emploi des formes à la IIIème personne et de la façon la plus nette – dans l’opposition le neutre/le, la, les. P.ex. : Savez-vous sa date de naissance ? - Je la sais // Savez-vous qu’elle est née en 1980 ? – Je le sais ; Ma voiture est-elle prête ? – Elle lesera bientôt.

4.2. Caractère animé/inanimé.La référence substantivale (предметные референты) peut être animée ou inanimée. Chez les pronoms personnels cette distinction se manifeste dans les oppositions suivantes :

¨

pronoms outils lui/y : Je lui fais confiance (à cet homme) – J’y fais confiance (à ces paroles) ;

¨ pronom outil/autonome y/à lui, en/de lui : J’y pense (à mon examen) – Je pense à lui (à ce jeune homme); J’en suis content (de ma réponse)– Je suis content de lui (de cet élève) ;

¨ préposition + pronom autonome/adverbe : devant lui/ devant ; sur lui /dessus ; hors de lui/ dehors: Ils sont sortis hors de la ville – Ils sont sortis dehors (non pas hors d’elle).

¨ chez les pronoms démonstratifs cette opposition se manifeste en ce que cela, ceci ne s’emploient par rapport aux N animés.

¨ chez les relatifs: à qui se rapporte aux N animés seuls à quoi – non.

¨ chez les interrogatifs : qui ? à qui ? se rapportent aux N animés seuls tandis que que ? à quoi ? – non.

¨ chez les indéfinis cette opposition se manifeste dans l’opposition formelle : personne, quelqu’un/rien, quelque chose.



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