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Fonctions syntaxiques des adjectifs. 4 страница



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5.5.2. Pronoms relatifs (PR).Les formes et les oppositions essentiellessont suivantes (entre parenthèses sont indiquées les formes rares ou vieillies) :

 

Fonction syntaxique Indépendance   Non-indépendance
Animé Inanimé Animé Inanimé
Sujet qui (que, qui) qui (lequel)
Cod qui (que) que (lequel)
Coi à qui de qui à quoi de quoi dont, duquel , auquel
à qui à quoi

I n d é p e n d a n c e/n o n i n d é p e n d a n c e se manifeste ici en leur emploi absolu (sans antécédent) ou non autonome (avec antécédent). D’habitude le pronom est lié à l’antécédent de la principale, et dans ce cas son emploi est non autonome. A l’emploi absolu l’antécédent est absent et PR accomplit double fonction : celle du terme de la principale et celle de son substitut dans la subordonnée : P. ex. dans Celui qui est venu est le frère de Marie celui est en même temps le sujet de la principale et l’antécédent du pronom qui ; qui est le sujet de la subordonnée. Dans Qui sème le vent récolte la tempête qui est en même temps le sujet de la principale et de la subordonnée ; il n’a pas d’antécédent. Pour la langue contemporaine l’emploi absolu n’est pas typique.

Aux pronoms i n d é p e n d a n t s se rapportent qui, quoi et que dans certains emplois. L’emploi absolu donne aux PR la signification généralisante ou indéfinie (qui = quiconque ; quoi = quelque chose) et se rencontre dans des dictons, sentences, locutions figées archaïsantes : Qui dort dîne (sujet) ; Appelle qui tu peux, Pour qui sait d’avance ce que chaque mot signifie, il est impossible de se tromper sur le rôle qu’il joue dans la phrase (compléments) ; Advienne quepourra (sujet) ; Ils ont dequoi être contents.

Aux pronoms n o n i n d é p e n d a n t s se rapportent qui, que, dont, lequel qui sont le plus usités et se distinguent avant tout par la fonction syntaxique de l’antécédent.

L e s f o n c t i o n s s y n t a x i q u e s. Les trois fonctions syntaxiques du tableau sont exprimées dans le système des pronoms non indépendants. Quidénote le sujet (l’homme qui est là ; la maison qui est là-bas), que – Cod (l’homme que je vois ; la maison que je vois). Pour l’expression du Coi on emploie les formes prépositionnelles à qui, à quoi , le pronom composé lequel (auquel, duquel, par lequel etc.) et dont.

Dont est le seul PR qui ne peut pas être employé comme interrogatif. Son emploi en fonction du Coi est pareil à celui de en, mais dont est indifférent au caractère animé/inanimé de l’antécédent. P. ex. : Je vous ai parlé de mon ami à Je vous ai parlé de lui à L’ami dontje vous ai parlé // Ce livre, je vous en ai parlé à Le livre dont je vous ai parlé.

Caractère a n i m é / i n a n i m é /n o n s u b s t a n t i v a l. Comme chez les pronoms personnels l’opposition animé/non inanimé se manifeste chez les PR en fonction du Coi (opposition à qui/à quoi). Le pronom à quoi peut dénoter un objet inanimé mais le plus souvent il est corrélé avec une référence non substantivale: Il y aurait du verglas, ce à quoi je n’ai pas songé. Un objet inanimé est représenté d’habitude par la forme lequel.

5.6. Pronoms dans une question indirecte.Les pronoms relatifs et interrogatifs se complètent les uns les autres à l’expression d’une question indirecte. Après les verbes introduisant une question (savoir, demander) le choix dépend du caractère de la référence et de l’existence des formes correspondantes des pronoms interrogatifs.

La référence animée est marquée par le pronom interrogatif qui, la reférence inanimée -par le pronom à quoi : Je me demande quia téléphoné ; Je ne sais à qui m’adresser ; Il insiste pour savoir de quoi est question. La preuve que c’est un pronom interrogatif et non relatif est l’impossibilité d’introduction d’un antécédent : * Je me demande (celui) qui a téléphoné.

A la dénomination de la référence non substantivale et non animée en fonction du sujet et du Coi qui n’ont pas de pronoms interrogatifs autonomes on emploie les pronoms relatifs qui, que avec l’antécédent formel ce : Je me demande ce que tu veux ; Il ne sait ce qui se passe. Dans le style familier on emploie souvent les pronoms interrogatifs composés : Il ignore qui est-ce que tu as rencontré ; Il ne sait pas qu’est-ce qui se passe.

6. Pronominalisation et dépronominalisation. La pronominalisation morphologiqueest un phénomène assez rare. Les pronoms comme classe grammaticale représente un ensemble lexical fermé dont les changements sont très lents. Mais durant des siècles du développement de la langue la classe des pronoms s'est enrichie de nouvelles unités. Les voies de la formation des pronoms sont :

a) modification sémantique des substantifs à sens abstrait :
on, rien, personne ;

b) formation des pronoms composés à la base des
substantifs à sens abstrait : quelque chose, tout le monde ; à la base des numéraux : quelqu'un, un de ... ; l'un... l'autre ; à la base des
locutions verbales à sens indéfini : je ne sais qui, quoique ce soit.

A présent dans le langage parlé les fonctions des substituts pronominaux passent aux mots chose, machin, truc. Très souvent les fonctions syntaxiques des pronoms indéfinis sont attribuées aux adverbes quantitatifs : beaucoup viendront.

La pronominalisation syntaxiquese manifeste en substitution d'un élément textuel par un pronom. Les règles essentielles de la pronominalisation ont été étudiées plus haut à l'analyse de l'anaphore (voir ci-dessus p.p. 81-82).

 

6.1. Dépronominalisation. Tout en perdant la capacité de s'enrichir d'un nouveau contenu, le pronom se dépronominalise et devient une sorte de substantif. Ainsi, ils peut dénoter une force ennemie, elle - une femme bien-aimée. Avec cela le pronom personnel conjoint perd ses caractéristiques syntaxiques, s'éloigne du verbe. P. ex. : Tartarin mettait ses lectures en action, et... criait en brandissant une hache ou un tomahawk: - Qu'ilsy viennent maintenant ! - Ils ?Qui ils? Tartarin ne le savait pas bien lui-même ... c'était tout ce qui attaque, tout ce qui combat, tout ce qui mord .. Ils enfin, c'était ils ..

Les pronoms possessifs se dépronominalisent s'ils dénotent une référence permanente : les vôtres – ваша семья; les nôtres –наши войска. Les démonstratifs cessent d'être pronoms s'ils dénotent un groupe de gens : ceux de la Résistance – участники движения Сопротивления

A leur substantivation complète les pronoms sont employés avec les articles : un autre moi-même, le moi est haïssable .

Une autre voie de la dépronominalisation est l'inclusion du pronom dans une locution phraséologique où il perd la variabilité de sa signification. La locution l'emporter signifiait primitivement emporter le dessus, puis le pronom a perdu le lien avec ce mot et s'est transformé en une partie du phraséologisme. Il y a plusieurs dizaines de locutions phraséologiques construites sur ce modèle : en vouloir, lesmettre, s'yfaire, ensavoir long etc. Dans des phraséologismes se dépronominalisent les pronoms possessifs (y mettre du sien),les relatifs (avoir de quoi),les indéfinis (c'est quelqu'un), les interrogatifs (qui vive).

La troisième voie de la dépronominalisation est l'emploi des pronoms en position de redondance ou bien dans des constructions où ils ne sont corrélés à aucune référence. C'est le cas du pléonasme des pronoms dans le langage parlé (Pierre il est parti) et dans les construction de la mise en relief avec ce : Ce qu'elle est belle!

           
   
 
 
 
   

 


Conférence VII

 

VERBE

Plan

1. Verbe comme partie du discours.

2. Сlasses sémantico-grammaticales des verbes.

3. Сatégories grammaticales du verbe (le mode).

____

 

1.0. Verbe comme partie du discours.Le verbe représente une des deux parties du discours essentielles. Il se caractérise du côté de la signification, des formes grammaticales et des fonctions syntaxiques.

Au point de vue de la sémantique le verbe dénote une action (Il lit, Il marche), un état (Il dort), une relation (Elle aime les fleurs) sous forme du procès corrélé avec un sujet et se développant dans le temps. C’est par cela que le verbe se distingue d’un N verbal qui aussi peut exprimer une action ou un état mais dans la forme la plus commune sans aucun rapport au temps de l’action ni à un sujet, comparez : Il arrive et l’arrivée.

La fonction essentielle syntaxique du verbe est celle du prédicat propre à la forme personnelle du verbe.

Les catégories morphologiques du verbe sont liées à sa signification commune et à sa fonction syntaxique. Ce sont le mode, le temps, la voix, la personne (avec le nombre et le genre ).

1.1.Parmi les termes liés directement au verbe on distingue les éléments substantivaux appelés a c t a n t s (sujet, objet, instrument etc., exprimés par des N), c i r c o n s t a n t s (circonstances exprimés par des adverbes) et a t t r i b u t s (éléments du prédicat nominal).

Dans les rapports avec les substances et les circonstances différentes se manifestent les p r o p r i é t é s d u p r o c è s qui, à leur tour, se reflètent ou bien dans le lexique du verbe, ou bien dans ses catégories grammaticales. On distingue trois groupes de propriétés d’une action :

¨ particularités intrinsèquesquantitatives et qualitatives

de l’action telles que : caractère statique ou dynamique, intensité, caractère itératif ou non, durabilité ou achèvement, le rapport au résultat etc. Ces propriétés de l’action sont reflétées dans le lexique du verbe et dans certaines langues (dont le russe) dans les catégories du mode d’action et de l’aspect ;

¨

propriétés intrinsèques relatives de l’action se manifestant dans ses liens avec les actants. Elles sont reflétées dans la sémantique du verbe, dans les catégories lexico-grammaticales de la personnalité /impersonnalité et de la transitivité et dans les catégories grammaticales de la personne et de la voix ;

¨ propriétésextérieures relativesreflétantl’attitude des interlocuteurs au procès (catégorie du mode) ou le rapport temporel de l’action au moment de la parole et à une autre action (catégorie du temps) ;

Les propriétés s’entrecroisent entre elles, p. ex. le mode d’action et la transitivité, l’aspect et le temps. En français on distingue d’habitude 4 catégories morphologiques verbales : mode, temps, personne (avec le nombre et le genre), voix. L’existence de la catégorie de l’aspect est discutable.

 

2.0. Principes de la classification des verbes.Pareils aux N et aux Adj, les verbes forment des groupes (sub-catégories) qui se distinguent à la base de la réflexion dans les verbes des propriétés du procès décrites ci-dessus :

¨ d’après l’indépendance sémantico-grammaticale on distingue verbes outils / semi-outils / pleins (autonomes) ; verbes à prédication complète/incomplète ;verbes anaphoriques;

¨ d’après le rapport au sujet on distingue verbes personnels /impersonnels ; selon le rapport au sujet et à l’objet - groupes de valence, y compris verbes transitifs/intransitifs ;

¨ d’après les propriétés intrinsèques du procès décrites on distingue verbes perfectifs/imperfectifs ; verbes statiques/ dynamiques.

La sémantique des verbes dépend de leur distribution ; très souvent on voit le passage du verbe d’un groupe sémantico-grammaticale à une autre (récatégorisation) : le V personnel est employé comme impersonnel et inversement ; transitif comme intransitif etc. Très souvent dans les acceptions et emplois différents le même verbe se rapporte aux groupes différents.

2.1. Verbes outils / verbes pleins.Les V outils se distinguent des V pleins par leur désémantisation (perte - complète ou partielle – de la signification) et l’incapacité de former un terme de proposition isolé. En français il n’y a pas de V outils qui se distingueraient formellement des V pleins (comme chez les pronoms ils et eux ; ce et cela). Les V outils y sont des variantes sémantico-fonctionnelles des V pleins : bien des verbes pleins dans des conditions appropriées acquièrent la fonction des V outils. On distingue quelques types fonctionnels de V outils :

¨

verbes auxiliairesfaisant partie de la forme morphologique du V plein (morphèmes détachés). Cette fonction est propre à être (aux temps composés et au passif), avoir, et aussi aller et venir de (si l’on envisage Futur et Passé immédiats comme formes morphologiques composées) ;

¨ verbes outils proprement ditsqui, ne faisant pas partie de la forme morphologique du verbe, constituent avec celle-ci un seul terme de proposition (paraphrase, construction) ; les grammairiens français les appellent parfois V semi-auxiliaires. Ici on distingue deux cas :

- le verbe a la fonction copulative introduisant l’attribut du sujet : devenir, paraître, se faire, se montrer ou de l’objet : faire, rendre, trouver (Ceci l’a rendu malheureux) ;

- le verbe forme un prédicat composé avec l’infinitif exprimant des significations aspectuelles, diathésiques, modales : faire, laisser, être en train de, être à etc.

2.1.1. Etre et avoir.Le V être peut être V plein dans la signification d’existence (Cela est = Cela existe) ou de localisation (Il est). Il est un V outil (semi-auxiliaire) dans la fonction copulative : Il estingénieur ; Elle est belle ; dans des périphrases du caractère aspectuel ou temporel : Il est en train de (sur le point de, en passe de, près de, loin de) faire qch . Et enfin il est un V auxiliaire dans les formes analytiques : temporelle (Il est venu) et diathésique (Il est aimé).

Le V avoir conserve sa signification autonome dans le sens de la possession : Il a un frère, reçoit la fonction semi-auxiliaire dans la périphrase à sens modal : Il a à vous parler et se manifeste comme un V auxiliaire dans les formes analytiques temporelles : Il a fait son devoir.

Les V avoir et être se désémantisent dans des combinaisons avec des Nv, N de qualité et autres avec lesquels ils forment un seul terme de proposition : Il est en marche ; Elle est au désespoir ; Il a peur ; Il eut un cri. Ici l’action est exprimée par le N et le verbe est porteur des catégories du temps, du mode, de la personne, de la voix.

Très souvent les propositions avec avoir et être sont synonymiques et leur choix est soumis aux règles suivantes :

¨ opposition sémantique : avoir souligne le caractère processif , être – le résultat de l’action : L’enfant a grandi et L’enfant est grandi. Cette opposition peut se neutraliser car les deux significations s’entrecroisent : la première passe à la seconde. D’ici on voit des hésitations dans l’emploi de être et avoir (p. ex. chez le verbe passer) ;

¨ fonction formelle : être est employé comme V auxiliaire avec les V pronominaux et certains V intransitifs : Il s’est levé ; Il estallé etc.

Souvent ses verbes reçoivent une fonction distinctive distinguant ou bien les significations transitive/intransitive (Il est descendu en bas (au premier étage) et Il a descendu sa valise), ou bien deux significations intransitives : demeurer dans le sens de «оставаться» se conjugue avec être, et dans le sens de «проживать» - avec avoir.

 
 


2.2. Verbes à prédication complète et incomplète.Parmi les V pleins on distingue les V à prédication complète, capables de former une proposition de la façon autonome (Il marche ; Il dort ; Elle lit), et les V à prédication incomplète, qui, sans perdre la plénitude de leur signification, ne peuvent pas être employés sans compléments et/ou circonstances exigés par leur sens : Il fait ses devoirs ; Il se comporte bien ; Il met son livre ici (on ne peut pas dire : * Il fait ; *Il se comporte ; *Il met [son livre] ). A ses derniers se rapportent la plupart des V exprimant des actions ou des relations du caractère abstrait : donner, prendre, appartenir etc. Les V à prédication incomplète sémantiquement ne sont pas des V outils, mais à force de leur signification abstraite et de leur agencement non isolé dans la proposition, ils reçoivent assez souvent une fonction semi-auxiliaire et forment, p. ex ., avec un N abstrait un prédicat analytique : donner la permission (= permettre) ; se mettre en branle (= se branler). Tous les V outils se caractérisent par la prédication incomplète.

 

2.3. Verbes anaphoriques.Dans la fonction anaphorique les verbes, pareils aux pronoms, dénotent une action non de la façon directe, mais en corrélation avec un autre verbe. Le verbe outil anaphorique par excellence est le V faire qu’on appelle parfois pro-verbe (analogue à pronom) : Il travaille plus qu’il ne faisait l’an dernier. Ne t’agite pas comme tu le fais. En fonction cataphorique le verbe faire se manifeste à l’interrogation : Que fais-tu ? – Je lis, ou dans les phrases du type : Le dernier temps elle ne fait que pleurer.

Dans la fonction anaphorique sont employés les verbes dénotant différents aspects de l’action, tels que :

¨ phases : commencer, finir ;

¨ faisabilité (осуществимость) : parvenir, éviter ;

¨ identité de l’action : imiter, reprendre ;

¨ attitude des interlocuteurs envers l’action : accepter, obéir,refuser. P . ex. : - Ne toussez pas ! – J’essaierai (=de ne pas tousser) // Grand offrit au docteur de monter un moment. Rieux accepta(=de monter).Les verbes essayer, accepter ne montrent pas à eux-seuls de quelle action il s’agit (à la différence de tousser, monter), celle-ci se concrétise seulement par son lien avec les verbes employés antérieurement.

2.4. Verbes perfectifs et imperfectifs.Selon le caractère du déroulement du procès les verbes se divisent en V. perfectifs et imperfectifs. Les V. perfectifs dénotent une action qui par sa nature peut avoir une limite naturelle. Tels sont : naître, mourir, entrer, sortir, prendre, donner, tomber, arriver, oublier, laisser et beaucoup d’autres. Au résultat de ces actions change la nature ou la position du sujet ou de l’objet , c’est à dire, on peut toujours prédire le résultat de cette action pour le sujet ou /et l’objet de cette action.

Les V. imperfectifs dénotent des actions envisagées seulement dans leur déroulement, des actions qui ne présupposent pas de limite. Tels sont les verbes d’existence (vivre, exister), de relation et de perception (aimer, estimer, voir), des actions et des occupations communes (travailler, parler, chanter, marcher, courir) et autres.

Les V. imperfectifs à la différence des V. perfectifs peuvent être accompagnés des adverbes encore, ne … plus, car l’achèvement d’une action imperfective est déterminée non par l’achèvement intrinsèque du procès mais par la limite temporelle de l’action. P. ex. Il vit encore ; Il travaille encore ; Il marche encore, mais on ne peut pas dire : *Il meurt encore ; *Il entre encore etc . Il ne travaille plus ; Il ne vit plus dans cette ville, mais on ne peut pas dire : *Il ne naît plus ; *Il n’arrive plus .

Les limites entre ces deux groupes de verbes ne sont pas rigides. Un V. imperfectif peut devenir perfectif à l’aide des préfixes : a-, em- :porter – apporter, emporter ; courir – accourir, faiblir – affaiblir, voler – s’envoler ; dormir – s’endormir.

Le même verbe peut être perfectif ou imperfectif en fonction de sa signification. P. ex. : comprendre dans la signification ‘понимать’ est perfectif, dans la signification ‘вмещать’ – imperfectif. Mais même dans la même signification le caractère du verbe peut dépendre de sa distribution, en particulier du caractère animé du sujet, p. ex. : Il sort de sa chambreaction perfective ; Cette rivière sort d’un lac – action imperfective. L’absence du complément forme l’imperfectivité (le verbe dénote ici des qualités ou des états du sujet) : Il fume = Il est fumeur ; Il chante = Il est en train de chanter. La présence d’un complément concret forme la signification perfective : Il fume une cigarette ; Il chante une chanson ; Il construit une maison (ici la limite naturelle de l’action est supposée). La pluralité du sujet ou de l’objet témoigne souvent l’itération de l’action et une action itérative est d’habitude imperfective : Il chante des chansons françaises ; Il fume les mêmes cigarettes ; Il construit des maisons.

En fonction de la perfectivité ou de l’imperfectivité du verbe se distinguent les significations des adverbes accompagnant le verbe. P. ex., toujours avec un V imperfectif peut signifier ou bien ‘всегда’ : Il parle toujours très viteОн всегда говорит очень быстро ou bien ‘все еще’ : Il parle toujoursОн все еще говорит ; avec un verbe perfectif seulement ‘всегда’: Il arrive toujours à tempsОн приходит всегда вовремя. Encore signifie ‘все еще’ avec un V imperfectif : Il vit encore et ‘опять’ – avec un V perfectif : Pierre est encore allé chez le coiffeur [ 69 ].

2.5. Notion de la valence verbale.La signification d’un verbe se manifeste dans ses rapports au sujet, à l’objet et aux circonstances. La capacité du verbe d’entrer dans les rapports syntaxiques avec les types déterminés de l’extension verbale (приглагольные члены) s’appelle valence dont les particularités et les caractéristiques sont :



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