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Fonctions syntaxiques des adjectifs. 7 страница



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Le système temporel de l’indicatif inclut les oppositions suivantes :

¨ temps absolu où l’on distingue trois plans : passé, présent et futur ;

¨ corrélation temporelle se composant de trois oppositions : antériorité, simultanéité, postériorité ; elle est exprimée par des formes composées et autres formes ;

¨ temps limité/illimité dans le passé; elle est exprimée par l’opposition passé simple (passé composé)/imparfait. (Imp/ PS [PC]) ;

¨ action actuelle/non actuelle dans le passé ; elle est exprimée par l’opposition passé composé/passé simple (PC/PS) ;

¨ intervalle temporel : une action proche/éloignée ; il est exprimé par des formes immédiates.

2.1. Temps absolu.Cette catégorie dénote le rapport du temps de l’action au moment de la parole. C’est l’opposition essentielle dans le système temporel et inclut trois sous-catégories (ou p l a n s, ou époques) : passé, présent, futur. Les formes verbales sont distribuées entre ces trois plans de la façon inégale : il y a une seule forme temporelle pour le plan du présent (présent), trois formes pour le plan du futur (futur simple, antérieur, immédiat) et toute une série de formes pour le plan du passé (PC, PS, passé immédiat, imparfait, plus-que-parfait, passé antérieur, passé et futur immédiats dans le passé).

Le présent occupe la place centrale dans le système temporel verbal . C’est une forme morphologiquement et fonctionnellement non marquée : à la neutralisation elle remplace d’autres formes.

2.1.1. La polysémie de la forme temporelle verbale.Au sein du même plan temporel une forme verbale peut exprimer des actions de durée différente. P. ex. le présent peut dénoter : a)présent précis (ponctuel) : Qu’est-ce que tu fais là ? – Je répare mon poste de radio. La coïncidence du moment de l’action avec le moment de la parole est propre surtout aux verbes performatifs où l’accomplissement de l’action se manifeste dans l’acte même de la parole : j’ordonne, je promets etc.; b) présent prolongé enveloppant un certain laps de temps : Il dort; c) présent itératif ou habituel : Il vient tous les jours à 8 heures. Les temps futurs et passés dénotent aussi des actions précises, prolongées ou itératives (habituelles).

Entre les plans temporels il n’y a pas de cloisons étanches. P. ex. le présent, incluant une partie du passé et une partie du futur, distingue un présent étendu (расширенное или инклюзивное) qui peut inclure ou bien une partie du passé : ßVoilà deux jours que tu me fuis ou bien une partie du futur:à Je reste ici jusqu’à ce que vous reveniez.

Dans la parole on voit souvent l’emploi des formes de tous les trois plans dans des fonctions s e c o n d a i r e s.

Schématiquement la possibilité du changement des significations des formes verbales peut être représentée de la façon suivante :

               
   
 
   
 
   
 

 

    Passé     Présent       Futur       ßopposition     ßneutralisation   As-pect   Moda-lité
         

Les flèches verticales montrent les formes possibles de la neutralisation. Les flèches horizontales indiquent la transposition temporelle – l’emploi de la forme temporelle dans la signification d’un autre plan temporel. Les flèches supérieures indiquent la transposition de la forme verbale en catégorie de l’aspect ou de la modalité.

2.1.1.1. Neutralisation sémantique (généralisation).Elle a lieu à la nécessité de dénoter une action atemporel ou une propriété de l’objet. A ces fins on emploi d’habitude le présent (appelé absolu, omnitemporel, panchronique, gnomique) : La terre tourne.

Pourtant il y a des cas où cette signification peut être exprimée par la forme du passé (surtout avec l’adverbe toujours) ou du futur : Qui ne sait se borner ne sut(saura) jamais écrire. Cette possibilité d’employer aussi la forme du futur prouve sa neutralisation.

1.2.1.1.2. Facteurs de la transposition sémantique (emplois figurés) des formes temporelles.Ce sont :

¨ situation. Elle seule peut montrer que l’action se rapporte à un autre plan temporel, p. ex. : Quand est-ce que je te vois ? où la situation montre que l’action se rapporte au futur ;

¨

compléments circonstanciels de temps.Dans les phrases :Tu viens souvent ? // Tu viens ce soir ? le présent dénote respectivement le présent itératif et le futur. A la base de ce phénomène se trouve l’accord sémantique de la forme verbale et du Ccirc. Ce dernier plus concret et déterminé sémantiquement « passe» son sème temporel à la forme verbale sémantiquement plus mobile. P. ex. : Hier je rentre, et qu’est-ce que je vois ? (temps passé) // Demain, je rentre tard (temps au futur) ;

¨ sémantique du verbe. Surtout est importante la distinction des V perfectifs et imperfectifs. Le présent des V imperfectifs dénote d’habitude le présent (Je mange), tandis que chez les V perfectifs il dénote souvent le futur (J’arrive !) ;

¨ formes temporelles dans la proposition voisine (le contexte morphologique). Si la proposition précédente contient un V au passé, le présent des propositions postérieures dénote souvent une action au passé : Donc mon frère et ma belle-soeur étaient ici. Au moment de se mettre à table, ma belle-soeur s’aperçoit qu’elle a oublié ses pilules. Je me propose pour aller les chercher ;

¨ conjonctions et types de propositions. P. ex. dans les deux parties de la proposition de condition le présent peut exprimer une action se rapportant au plan du futur : Si tu bouges, je t’assommeetjette par la fenêtre.

 

2.2. Corrélation temporelle.Cette catégorie (appelée encore la taxis) exprime les rapports d’ordre (порядковые) entre les actions et inclut trois sous-catégories : simultanéité, antériorité et postériorité. Les formes temporelles exprimant ces significations s’appellent temps relatifs.

Le temps de l’action peut être marqué en partant des points de repère suivants :

passé présent futur

O X O

C A B

 

D – postériorité par rapport au passé

La corrélation temporelle avec le moment de la parole (A) est exprimée par les temps absolus, celle avec les points (B,C,D) – par les temps relatifs :

Plan temporel Corrélation temporelle
antériorité simultanéité postériorité
futur (B) futur antérieur - -
passé (C) plus-que-parfait passé antérieur passé immédiat dans le passé   imparfait conditionnel présent (futur dans le passé) futur immédiat dans le passé
postériorité par rapport au passé (D) conditionnel passé (futur antérieur dans le passé)

 

P. ex. Rambert dit (passé), qu’il avait encore réfléchi (antériorité) qu’il continuait à croire ce qu’il croyait (simultanéité), mais que s’il partait, il aurait honte (postériorité).

De ce tableau il résulte que :

· il y a le plus de formes pour le plan du passé et pour l’antériorité. La simultanéité et la postériorité sont exprimées par des formes appropriées seulement dans le plan du passé ; dans le plan du futur le futur simple dénote la simultanéité aussi bien que la postériorité ;

· il y a des formes spéciales seulement pour la dénomination de l’antériorité ; pour l’expression de la simultanéité et de la postériorité on emploie d’autres formes dans leurs fonctions secondaires (imparfait, conditionnel) ;

· la catégorie de la corrélation temporelle englobe non seulement les formes verbales composées, mais aussi autres formes.

2.2.1. Problème de la concordance des temps.La catégorie de la corrélation temporelle se manifeste de la façon la plus claire dans la concordance des temps, c’est-à-dire, l’emploi des formes temporelles dans la subordonnée en fonction du temps dans la principale. En nous rendant compte des règles de la concordance des temps comme faits de

la langue, il faut remarquer que dans la langue moderne, surtout dans le langage parlé on voit bien des écarts des règles classiques de la concordance qu’on peut réunir en deux groupes :

¨ les écartsdus au contenu de la subordonnée. Si elle exprime une vérité commune, atemporelle, elle conserve le présent même si dans la principale il y a le passé : Madame d’Espard … savait qu’on ne laisse pas ignorer longtemps une médisance à ceux qu’elle blesse.

¨ les écarts dus à la forme de la principale. La concordance ne se fait pas souvent avec le PC dans la principale : Il a dit qu’il est en train de lire (a lu, lira) ce livre. Cela est lié aux particularités du PC : sémantique (lien avec le moment de la parole) et morphologique (le forme du présent de l’auxiliaire). Voilà pourquoi assez souvent la concordance avec le PC se fait comme avec le plan du présent et non du passé.

Ces écarts montrent que la concordance des temps n’est pas seulement une assimilation formelle, mais aussi l’accord des significations des formes temporelles dans une phrase complexe.

2.3. Limitation du temps de l’action.La forme temporelle peut représenter une action ou bien comme limitée ou bien comme non limitée dans le temps. Cette distinction rapproche de la distinction aspectuelle mais ne coïncide pas complètement avec cette dernière. Le présent est un temps non limité, futur est neutre à l’expression de cette signification : ici le caractère du déroulement de l’action est déterminé en grande partie par la sémantique du verbe : les V perfectifs montrent la limitation de l’action dans le temps, les V imperfectifs - sa non limitation. P. ex. : Il viendra à deux heures (action limitée dans le temps) ; Après le déjeuner, il dormira (une action prolongée). Il en est autrement dans le plan du passé où ces significations sont exprimées par des formes différentes.

La non limitation de l’action dans le temps est exprimée par le temps linéaire imparfait, la limitation – par les temps ponctuels PS ou PC. P.ex. : Il travaillait quand je suis entré et Il a travaillé deux heures avant de s’en aller.

Cette opposition : temps limité/non limité de l’action se manifeste de la façon la plus claire si elle coïncide avec l’opposition des V imperfectifs/perfectifs:

 

V imperfectif A a temps non limité

(imparfait)

V perfectif B b temps limité

(PS / PC)

A la combinaison A ---- a: un V imperfectif (parler, dormir, vivre, manger etc.) avec un temps non limité (imparfait), aussi bien qu’à la combinaison B ---- b: un V perfectif (entrer, mourir, tomber etc.) avec un temps limité (ponctuel – PS, PC) se réalise la s i g n i f i c a t i o n p r i m a i r e du verbe et de la forme temporelle, c’est-à-dire, l’expression de la limitation/non limitation du temps de l’action.

2.3.1.L e s f o n c t i o n s s e c o n d a i r e s de l’opposition limitation/non limitation du temps de l’action se manifestent au cas de l’asymétrie, de la divergence entre le sens du verbe et le sens de la forme temporelle.

· A ---- b.Si un verbe imperfectif est employé dans un temps limité, l’action est représentée comme une action limitée dans le temps et avec cela la limitation peut toucher ou bien son moment initial, ou bien son moment final, ou bien peut envelopper toute l’action, la limitant des deux côtés. Le verbe reçoit respectivement la signification initiale (начинательное) : Il chanta Он запел ; finale (терминативное) :Il chanta (une chanson) Он спел; limitative (ограничительное) : Il chanta une heure Он (про)пел час et itérative (повторяющееся) : Trois fois de suite, il chanta la même chanson Три раза подряд он (с)пел ту же песню.

·

B ---- a.Si un verbe perfectif est employé à l’imparfait,l’action ponctuelleest représentée comme procès. Un tel emploi de l’imparfait s’appelle imparfait stylistique (pittoresque ou «de cinéma »). L’action se ralentirait, se présenterait comme procès dont l’interlocuteur devient témoin. D’habitude l’imparfait stylistique est employé à l’indication du moment exact et même de la date concrète de l’action : En 1804, Bonaparte mettait fin à la I ère République française - В 1804 году Бонапарт покончил с Французской республикой. Ici l’indication du moment de l’action et la perfectivité du verbe s’opposent à la signification durable de l’imparfait ce qui « étend» l’action.

2.3.2. Le problème de l’imparfait.L’imparfait représente une forme temporelle très compliquée pour l’analyse à la suite de la grande diversité de ses emplois. Il est douteux de trouver un seul dénominateur (знаменатель) pour tous les emplois de l’imparfait. Sans nous arrêter spécialement aux différents points de vue sur la nature de cette forme, notons que l’imparfait et les temps ponctuels (PC, PS) accomplissent des fonctions différentes dans la narration. Le PC et le PS montrent le changement de l’action, la succession d’une action par une autre. L’imparfait est employé pour la description, il crée le fond pour l’action. L’imparfait pittoresque reçoit dans la narration une fonction spécifique. Ralentissant la marche du temps, il attire l’attention à l’action, la met en relief, fait une sorte de photo instantanée d’un fragment de l’action. Très souvent, il ouvre la narration ou bien la termine. Dans le premier cas il souligne qu’il va se passer qch ; dans la position finale il souligne la conséquence, résume les événements antérieurs. P. ex. : Un mois plus tard, Le Broquet épousait la Clope.

2.4. Actualité/non actualité de l’action.La langue possède des formes spéciales pour marquer l’importance de l’action pour les interlocuteurs et son lien avec le moment de la parole. C’est surtout important pour les événements du plan du passé. En linguistique générale dans ce but on distingue le parfait et l’aoriste. Le parfait installe le lien direct entre une action passée et le moment de la parole. L’aoriste dénote une action passée comme n’ayant pas de lien avec le moment de la parole. C’est l’opposition des formes PC/PS qui reflète la distinction des significations perfective et aoristique. En français moderne cette opposition a souffert certaines modifications ce qui est lié à l’histoire du développement des formes temporelles de l’indicatif. Sans détailler différents points de vue sur le caractère et la nature de l’opposition PC/PS, notons que la plupart des grammairiens voient la signification essentielle de cette opposition en expression de l’a c t u a l i t é/n o n – a c t u a l i t é de l’action pour le moment de la parole ; à cette dernière au cours de l’évolution se sont joints d’autres aspects sémantiques : parole quotidienne (PC)/narration historique (PS) ; langage parlé (PC)/langue écrite, style livresque (PS).

Pour conclure on peut dire que trois formes temporelles : PC,PS, imparfait font partie d’oppositions différentes : l’opposition «temps ponctuel/ temps linéaire» détache PC et PS de l’imparfait ; l’opposition «action actuelle/non actuelle» distingue PC et PS (auquel se joint le passé antérieur). L’imparfait reste indifférent à cette dernière opposition bien que, se rapportant au plan du passé, il dénote une action moins actualisée que le PC.

2.5. Intervalle temporel.Il est exprimé par l’opposition PC/passé immédiat (Pim), FS/futur immédiat (Fim).

Il y a des points de vue différents en ce qui concerne leur côté formel aussi bien que leur signification. Au point de vue formel on les traite comme :

¨ formes analytiques verbales qui doivent faire partie du paradigme verbal ;

¨ périphrases verbales ne faisant pas partie du paradigme verbal.

Au point de vue de leur sémantique il y en a aussi deux :

¨ elles s’opposent aux autres temps par leur sens temporel et comme telles expriment un intervalle temporel ;

¨ elles ont des significations aspectuelles de préférence. Au Fim on attribue aussi une signification modale.

L’analyse du fonctionnement de ces formes laisse voir en elles des formes analytiques verbales bien qu’elles ne se combinent pas aussi librement avec les autres catégories grammaticales comme le fait la forme analytique du type (il) a fait.

Les temps immédiats dénotent des actions plus proches du moment de la parole. Mais il n’y a pas de parallélisme absolu entre le Pim et le Fim. Le Pim exprime un passé proche pour les V perfectifs de préférence (Il vient d’arriver) où il contient une nuance perfective. La distinction du FS et du Fim ne revient pas (не сводится) à l’intervalle temporel seul. Elle se détermine aussi par la modalité (le Fim dénote une action plus déterminée, inévitable) ; par l’aspect (le Fim souligne la phase initiale de l’ action future, le FS – sa phase finale. Comparez : Il va lire ce livre, mais Je suis sûr qu’il lira ce livre avec plaisir) ; par le style (le Fim est propre surtout au langage parlé, le FS s’emploie dans tous les styles).

3. Catégories de la personne, du nombre et du genre.

3.1. Catégorie de la personne.Elle exprime le rapport entre le sujet de l’action et le sujet parlant et incluttrous sous-catégories :I ère, II ème et III ème personne. La I ère personne indique que le sujet de l’action coïncide avec le locuteur (J’ai mangé) ou l’inclut (Nous avons mangé), la II ème personne rapporte le sujet de l’action à l’allocutaire (Mange ! Avez-vous mangé ?) et la III ème indique que le sujet de l’action n’inclut ni locuteur ni allocutaire (Il mange). Les trois personnes forment une hiérarchie incluant deux types d’oppositions basées sur les marques de la « personnalité» et de la «subjectivité» [3, 269 ]. La marque « personnalité» oppose la I ère et la II ème personne à la III ème: la I ère et la IIème personne se rapportent toujours aux objets animés, la III ème peut indiquer tout objet. La marque «subjectivité» oppose la I ère personne (mocuteur) à la II ème (allocutaire).

3.1.1. Particularités structurales de l’expression de la personne.Dans le plan de l’expression la personne du verbe en français est très spécifique : à quelques exceptions près une forme personnelle du verbe ne s’emploie pas de la façon autonome, mais avec des pronoms personnels conjoints (je, tu, il etc.) ou avec un sujet exprimé par un N (Pierre parle). De cette façon la personne a très souvent la double expression : par une flexion verbale et un pronom personnel conjoint (Nous parlons). Il y a différents points de vue sur cette construction :

¨ le pronom est une flexion verbale préposée faisant partie de la forme verbale et formant un « morphème intermittent» nous … ons pareil à ai … é dans J’ai parlé;

¨ le pronom est envisagé comme un mot outil faisant avec la forme verbale un seul terme de proposition pareil la combinaison prép. + art. + N. Dans ce cas Je parle et même Il parle sont traités comme des propositions à un terme essentiel ;

¨ le pronom est traité comme un terme de proposition isolé bien que outil et la combinaison Il parle forme une proposition à deux termes. Il y a bien des arguments en faveur du dernier point de vue.

En français où le verbe se modifie d’après la catégorie de la personne les terminaisons ont la double fonction :

a) à l’absence du sujet elles reçoivent la fonction de la corrélation de l’action avec le sujet : Parlons ! Parlez ! Parle ! ou il indique le sujet de la façon autonome ;

b) à la présence du sujet elles reçoivent la fonction des marques accordantes du verbe avec le sujet : nous parlons, vousparlez, ilparle.

La particularité du français se manifeste en ce que la première fonction (a) n’est propre qu’à l’impératif. Dans tous les autres cas cette catégorie est de préférence formelle et modificatoire.

3.2. Catégories du nombre et du genre.La sémantique de la catégorie du nombre verbal ne se distingue pas de celle des pronoms.

La catégorie du genre chez le verbe a un caractère asémantique. Elle se manifeste :

a) dans les temps composés conjugués avec être : Elles sont venues ; Elle s’est repentie;

b) dans la voix passive : Elle a été invitée ;

c) dans les temps composés avec avoir à la préposition du Cod : La lettre qu’il a écrite n’est pas arrivée. Dans ce dernier cas le nombre et le genre ont une fonction purement formelle et ne sont pas marqués dans le prédicat verbal composé : les lectures que j’ai commencé à faire.

Conférence IX

 

VERBE (fin)

Plan

  1. Сatégorie de la voix.
  2. Formes non-personnelles du verbe.

_______________________________

1.0. La catégorie de la voixreprésente une catégorie lexico-grammaticale reflétant les rapports entre le sujet et l’objet de l’action exprimés dans la forme du verbe. Dans le plan du contenu la voix distingue un ensemble de significations diathésiques (A et Bmarquent respectivement le sujet et l’objet sémantiques ; ø– absence du sujet ou de l’objet.

¨ A à ø. La voix moyenne, dénotant une action, concentrée dans le sujet : Pierre lit beaucoup.



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