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Fonctions syntaxiques des adjectifs. 8 страница



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¨ A à B. La voix active dénotant une action, passant sur l’objet : Pierre lit un livre.

¨ B ß A. La voix passive montrant que le sujet grammatical indique l’objet réel de l’action : Ce livre est lu par tous les élèves.

¨ A ßà ø. La voix réfléchie dénotant une action dont l’objetse trouve en même temps son sujet : Elle se regarde dans la glace.

¨ A ßà B. La voix réciproque dénotant une action concommitante de plusieurs sujets qui passe d’un d’eux sur un autre: Pierre et Jean se saluent.

¨ A à B à. La voix factitive (causative) montrant que le sujet incite l’objet à faire une action : Pierre a fait venir Jean.

¨ ø à A. La voix impersonnellereprésentant le sujet comme objet d’une action impersonnelle: Il est arrivé un train.

Mais cela ne signifie pas qu’en français il y a sept voix morphologiques du verbe. Leur existence dépend du caractère de la forme, exprimant cette signification. La possibilité de la formation de la voix dépend de la signification du verbe. Avant tout les significations diathésiques sont liées à la transitivité/intransitivité du verbe. La transitivité représente pour la catégorie de la voix le fondement sémantique pareil à la nombrabilité pour la catégorie du genre des substantifs. Ainsi la signification moyenne est liée à l’intransitivité du verbe. Les significations active, passive, réfléchie et réciproque sont formées généralement des verbes transitifs. Les voix sont corrélées et reversibles entre elles. La voix active peut être transformée en voix passive et réfléchie : La mère lave son enfant à L’enfant est lavé par sa mère à L’enfant se lave. La voix impersonnelle est corrélée avec la voix moyenne et ne peut être formée que des verbes intransitifs.

Les significations diathésiques s’entrecroisent entre elles ; parfois il est assez difficile de les distinguer. Ainsi toute absence de l’objet déplace le verbe du côté de la signification moyenne (= intransitive). C’est pourquoi très souvent une forme pronominale exprime la voix moyenne. Par exemple : Cet enfant peut s’habiller seul (voix réfléchie); Cette femme sait s’habiller (voix moyenne). La voix passive aussi à l’absence du complément d’agent reçoit la signification moyenne. Par exemple : La porte sera ouverte par la concierge (voix passive) ; A 8 heures la porte sera ouverte (signification moyenne, l’état).

 

1.1. Problèmes théoriques des voix.Le système des voix est caractérisé par l’asymétrie, puisque, d’un côté, la même signification peut être exprimée par des formes différentes et de l’autre, la même forme peut avoir des significations différentes. Par exemple, en français il n’y a pas de marques spéciales des significations active et moyenne. La distinction des voix est donc déterminée par la présence des formes correspondantes. En français il y a cinq formes auxquelles on pourrait attribuer des significations diathésiques : forme active (il lave), forme passive (il est lavé), forme pronominale (il se lave), forme causative (il fait laver), forme impersonnelle (il arrive un train). Le problème consiste en leur interprétation ou bien comme des formes morphologiques du verbe ou bien comme des formations syntaxiques. C’est seulement dans le premier cas qu’on peut parler de la voix comme d’une catégorie grammaticale. Il y a au moins 4 interprétations différentes des formes de voix :

¨ opposition de trois formes: (lave/est lavé/se lave) exprimant les voix active, passive et réfléchie ( Bogomolova [ 4 ]);

¨ opposition de deux formes : active/passive ; la forme réfléchie n’est pas envisagée comme une forme spécifique de voix et est distribuée entre active / passive ( Wagner–Pinchon [ 69 ]);

¨ opposition des formes: active/pronominale (Stéfanini [ 65 ] );

¨ opposition de quatre formes : active/passive/ pronominale /factitive. Dans ce cas le syntagme faire laver est envisagé comme la forme morphologique du verbe (Référovskaïa –Vassiliéva [ 59 ]);

¨

ni forme passive ni forme pronominale ne sont envisagées comme des formes spécifiques de la voix ce qui mène à la négation de l’existence de la voix comme catégorie morphologique. Dans ce cas on avance le point de vue que les rapports diathésiques doivent être examinés dans la sphère de la syntaxe et non de la morphologie verbale ( F. Brunot [ 36 ];

A. Sauvageot [ 62 ] ; Riegel et al. [ 60 ] ; Wilmet [ 70 ] ).

L’essence des significations diathésiques se manifeste en ce qu’à la voix active le sujet grammatical et le sujet sémantique (source de l’action) coïncident (Les ouvriers construisent une maison), tandis que à la voix passive le sujet grammatical dénote l’objet de l’action (La maison est construite par les ouvriers) et qu’aux voix réfléchie et réciproque le sujet grammatical inclut en même temps le sujet et l’objet sémantiques. Ces significations peuvent être exprimées de façons différentes : syntaxiquement, morphologiquement, lexicalement. Le changement de la corrélation entre les actants sémantiques (sujet, objet) et syntaxiques (sujet grammatical, compléments) indifféremment aux moyens d’expression s’appelle diathèse. Ce phénomène est étudié dans la syntaxe. La voix dans la linguistique est traitée de deux manières : de façon large et étroite : dans le premier cas il coïncide avec la notion de la diathèse, dans le second la voix ne représente que les moyens morphologiques de transformations ; dans ce cas elle fait partie de la diathèse. En grammaire française on ne distingue pas toujours nettement la voix morphologique et la diathèse et on appelle voix tout moyen de transformation des rapports sujet-objet. Par exemple, J. Dubois décrit deux types de transformation passive de la proposition Le soleil jaunit les papiers [ 40, 80-82 ] : a) les papiers sont jaunis par le soleil ; b) les papiers jaunissent au soleil.

Dans les deux cas nous sommes en présence d’une diathèse, mais dans a) cette transformation est accompagnée de transformation formelle du prédicat (jaunit à sont jaunis), dans b) – il n’y a pas de transformation (à l’exclusion de la signification du nombre). La seconde transformation est du caractère sémantico-syntaxique, tandis que la première – du caractère morphologique. Ainsi tout le problème de la catégorie de la voix se réduit à la détermination de la nature des formations analytiques : être lavé, se laver, faire laver. Enterprêtant faire laver comme une formation syntaxique, analysons les structures être lavé (le soi-disant passif analytique) et se laver (la forme pronominale).

 

1.2. Construction être + participe passé et le problème de la voix passive. La négation de l’existence de la voix passive est argumentée de la façon suivante :

¨

le passif n’a pas sa propre forme d’expression en raison du caractère polysémique de la construction être + PII : elle exprime un temps verbal de l’actif avec un PII formé des verbes intransitifs (Elle est venue), un prédicat composé avec un PII formé des verbes pronominaux (Elle est évanouie) et c’est seulement avec des PII formés des verbes transitifs qu’elle peut exprimer le passif (Elle est aimée). Mais ici on peut voir l’homonymie grammaticale : la fonction est déterminée par la signification du verbe dont est formé le participe ;

¨ d’autre part il y a des verbes transitifs (p. ex. avoir) qui sont incapables de former cette construction. Cependant toute catégorie peut avoir des exclusions. P. ex. il y a des adjectifs qui ne changent pas d’après la catégorie du genre (aquilin, crasse), certains verbes défectifs n’ont pas certaines formes de la personne ou du temps etc. Mais cela ne signifie pas qu’il faut nier la présence de la catégorie du genre chez les adjectifs ou des catégories de la personne ou du temps chez le verbe comme PdD. En même temps la construction être + participe passé peut être formée de certains verbes intransitifs (Vous serez pardonné), aussi bien que d’une construction impersonnelle (Il sera procédé à ...) ;

¨ la construction ne représente pas un tout morphologique, car le PII peut être remplacé comme adjectif par le pronom le, p. ex. : Elle est jeune à Elle l’est. Elle est aimée à Elle l’est. Mais en présence du complément d’agent (qui est la marque caractéristique de l’expression de la signification passive) un tel remplacement est impossible : *Elle l’est de tous. Avec cela le verbe être peut être omis ou remplacé par un autre verbe-copule : La vedette est (se trouve, se voit) entourée de ses admirateurs. Peut-on considérer est entourée comme forme morphologique du verbe étant donné que se trouve (se voit) entourée soit un prédicat nominal incontestable? En principe une forme analytique perrmet cette sorte de substitution. A comparer : Il est arrivé enfin – forme morphologique du verbe et Il se voit enfin arrivé – prédicat composé nominal ;

¨ la construction ne représente pas une unité sémantique.Le PII se prête facilement à l’adjectivation en formant avec le verbe être un ensemble égal à un prédicat nominal composé. Très souvent un PII et un adjectif fonctionnent comme des termes similaires :Et plus, nous sommes civilisés, intelligents, raffinés.[ 59 ].

De cette façon la signification concrète de la construction dépend de plusieurs facteurs : sémantiques (perfectivité/imperfectivité du V), morphologiques (temps composé/temps simple), syntaxiques (présence du complément d’agent ou des circonstances généralisantes du type tous les jours) aussi bien que du contexte ce qui peut être représenté de la façon suivante :

être + participe passé

 
 


verbe imperfectifverbe perfectif

passif

temps composétemps simple

passif

complémentcirconstancecontexte

d’agentgénéralisante

passif passif passif

 

Un V. imperfectif forme toujours le passif (Il est critiqué), un V. perfectif peut former un prédicat nominal avec une nuance résultative (La séance est terminée). Un V. perfectif dans un temps composé forme le passif (le temps composé souligne le procès ayant mené à ce résultat : La cruche a été cassée), Un V. perfectif dans un temps simple forme un prédicat composé (puisque le temps simple exprime l’état : La cruche est cassée. Un V. perfectif dans un temps simple forme le passif à la présence :

a) d’un complément d’agent (p. ex. : Le château est restauré – prédicat composé ; Le château est restauré par une équipe d’ouvriers – passif) ;

b) d’une circonstance généralisante, soulignant le procès et non son résultat (à comparer : La boîte aux lettres est vidée – résultat, non passif ; La boîte aux lettres est vidée tous les jours – procès, passif) ;

c) du contexte et de la situation qui jouent aussi un grand rôle : la phrase Le livre est lu en fonction du contexte peut être comprise ou bien comme résultat (прочитана), ou bien comme procès (читается).

De cette façon la polysémie ne peut pas témoigner contre la reconnaissance de la construction être + PII de la forme passive du verbe en raison du caractère polyfonctionnel de toute forme grammaticale. Voilà pourquoi nous allons envisager la construction être + PII comme forme morphologique de l’expression du passif. Et puisque toute forme manifeste sa spécificité en opposition paradigmatique aux autres formes, la possibilité de la transformation ‘actif/passif ’ est le critère essentiel de la présence de la voix passive.

1.2.1. Fonctions de la forme être + PII.La fonction primaire de cette forme est l’expression de la voix passive qui se manifeste en changement de l’orientation de l’énoncé. L’objet sémantique, qui à la forme active occupe la position du complément, à la forme passive est le sujet grammatical. Cette construction se divise en deux types:

¨

à t r o i s t e r m e s : Un camion me double à Je suis doublé par le camion. Elle sert à souligner le caractère rhématique du sujet sémantique (ici : camion) qui forme un complément indirect introduit par la préposition par (ou de). La présence du complément d’agent témoigne toujours de la fonction du passif de la construction être + PII.

¨ à d e u x t e r m e s, sans complément d’agent. Ici c’est le verbe qui reçoit le caractère rhématique (Les pneus seront réparés) ou bien la circonstance : Ces voitures sont faites avec soin.

La fonction essentielle communicative de cette construction est l’élimination de la dénomination du sujet réel de l’action. Ce dernier est éliminé ou bien en raison de son indétermination (on, quelqu’un) ou bien au contraire, en raison de sa redondance parce qu’il est connu par les interlocuteurs et sa dénomination devient superflue. P. ex. : Les devoirs sont terminés, les enfants peuvent aller se promener. Cette construction (à deux termes) peut aussi être transformée en construction active mais le sujet de cette dernière sera exprimé ou bien par le pronom personnel indéfini on, ou bien par le substantif pris dans la situation extralinguistique, p. ex. : La levée de la boîte aux lettres est faite trois fois par jour à On fait la levée de la boîte …ou à Le facteur fait la levée de la boîte …

Cette construction est plus usitée que la première mais l’absence du sujet sémantique retouche le caractère actif du procès ; la construction être + PII commence à exprimer l’état de l’objet sémantique (=sujet grammatical) comme résultat d’une action. Donc, ici dans son emploi le plus usité la construction perd sa spécificité verbale.

1.2.2. Fonctions secondaires de la forme être + PII. Ici le passif reçoit la fonction de l’actif, dénotant un état, une caractérisation du sujet. Cette fonction se manifeste seulement dans les constructions à deux termes, le plus souvent avec un sujet grammatical animé. Cette fonction est marquée par l’absence de la corrélation avec la forme active. P. ex. Il est fatigué ne peut pas être envisagée comme dérivée de la proposition On l’a fatigué. C’est une construction moyenne (du type Il est malade) qu’il faut classer parmi les prédicats nominaux. La même chose avec Le directeur est occupé ; Elle est enrhumée. Cependant ici le PII conserve le lien sémantique avec le verbe correspondant.

1.2.3. La lexicalisationde la construction être + PIIse manifeste au cas où le PII perd le lien direct avec le verbe : Il est toqué ; Elle est indisposée ; Je suis perdu.

1.3. Verbes pronominaux et le problème de la voix réfléchie.Les difficultés de l’étude théorique de la forme pronominale du verbe en français s’expliquent par les particularités de sa structure aussi bien que de son contenu. Dans le plan structural le pronom réfléchi se ne se distingue en rien des pronoms conjoints me, te (à la différence du russe où la marque de la réflexivité -ся se distingue formellement des pronoms autonomes меня, тебя). Cependant deux marques distinguent la forme pronominale du groupement libre du verbe avec un pronom : l’emploi de se (au lieu de le, lui, etc) à la III ème personne – Il l’a blessé и Il s’est blessé et l’emploi dans les formes composées de l’auxiliaire être au lieu d’avoir (Il m’a étonné и Il s’est étonné). Mais ces particularités ne représentent pas une si grande importance: p. ex. être s ’emploie aussi avec certains verbes non-pronominaux :Il est venu. En ce qui concerne le côté significatif, la forme pronominale se caractérise par la polysémie. Voilà pourquoi certains linguistes l’envisagent comme une forme particulière lexicale et non grammaticale. Ceux qui la traitent de forme diathésique discutent sur la priorité en elle de la signification réfléchie ( Damourette et Pichon [ 37 ] ,Stéfanini [ 65 ]) ou bien passive ( Dubois [ 40 ] ,Martinet [ 57 ]). Dans le plan sémantico-grammatical il y a une différence très importante entre les formes pronominale et passive. La forme passive indique que l’agent de l’action représente une substance étrangère au sujet grammatical (Il a été blessé involontairement par son voisin), ou bien que l’agent est absent (Il est blessé). La forme pronominale montre que le sujet (grammatical et sémantique) non seulement est soumis à l’action mais il y participe (Il s’est blessé), il a « sa part de responsabilité » pour cette action [ 65 ]. De cette façon la forme pronominale occupe sa place dans l’ensemble des formes diathésiques, se distinguant de l’actif aussi bien que du passif et en même temps unissant leurs propriétés. Tout cela permet de la désigner comme la forme de la voix réfléchie.

1.3.1. Fonctions primaires de la forme pronominale.La fonction primaire de la forme pronominale est l’expression des voix réfléchie et réciproque où le sujet de l’action est en même temps son objet. La formation de la voix réfléchieest un phénomène grammatical qui n’est pas lié aux différences lexicales à une seule exception que le verbe transitif doit exiger un sujet animé capable de produire une action active par rapport à lui-même. Les marques du réflexif sont :

¨ la possibilité de la substitution des pronoms me, te, se par les formes moi, toi, lui (-même) : Pierre s’admire à Pierre n‘admire que lui ;

¨ la possibilité de l’emploi de l’adverbe du type volontairement, qui souligne l’activité du sujet. Par cela la voix réfléchie se distingue de la moyenne : Il s’est blessé en tombant (moyenne) ; Il s’est blessé volontairement (réfléchie).

Il en y a deux constructions : directe (Il se lave) et indirecte (Il se lave les mains ; Il se nuit).

La voix réciproque se forme presque des mêmes verbes que la voix réfléchie, mais le sujet grammatical y est toujours au pluriel. Elle peut être complétée par les éléments l’un (à) l’autre, mutuellement etc : Ils se regardent (l’un l’autre). La voix réciproque a aussi deux constructions : directe (Ils s’admirent) et indirecte : (Ils se nuisent).

1.3.2. Fonctions secondaires de la forme pronominale.Elles se manifestent en ce que cette forme reçoit la signification des catégories opposées : du passif ou de l’actif :

¨ le passif pronominala comme marque la transformabilité en construction active. Il peut avoir deux types de constructions :

- à t r o i s t e r m e s avec un agent exprimé. Ici l’agent joue un rôle moins actif qu’au passif analytique ; il ne peut pas être exprimé par un nom animé et il est lié non par la préposition par, mais par d’autres prépositions : à, avec, de, ayant plutôt la signification circonstancielle ou instrumentive qu’agentive : L’humidité gâte les fruits à Les fruits se gâtent à l’humidité. Tout amuse les enfants à Les enfants s’amusent de tout ;

- à d e u x t e r m e s qui se caractérise par :

a) l’absence du sujet puisque le sujet réel est indéfini (on) : Ce journal se vend partout à On vend ce journal partout ;

b) un sujet non-animé puisque un sujet animé auprès le verbe pronominal forme la voix réfléchie : Cette étoffe se lave bien (passif) et Cet enfant se lave bien (réflexif).

Le passif pronominal rend le sujet grammatical plus actif que le passif analytique. Dans la forme du présent il s’emploie très souvent pour exprimer une action ou une propriété généralisée et par cela il reçoit une nuance modale déontique (необходимость) ou de possibilité : Les erreurs, ça se paie ; Ce livre se lit difficilement ; Ça se voit rarement.

Les deux types du passif se trouvent dans les rapports de la distribution complémentaire : chez les V. perfectifs la signification du présent est exprimée par un passif pronominal (La maison se construit), la signification du passé – par un passif analytique (La maison est construite) ;

¨ la forme pronominale peut avoir la fonction de la voix active. Dans ce cas-là elle exprime une action « moyenne ». Cette signification se forme chez les V. transitifs : rendre à se rendre ; lever à se lever; avancer à s’avancer. On les appelle de pseudoréflexifs ou de réfléchis-moyens. Le pronom se ici est le signe de l’intransitivité, il marque l’absence de l’objet, la concentration de l’action dans le sujet. Cela les rapproche sémantiquement des V. intransitifs à la forme active. Les particularités des V. réfléchis-moyens:

a)ils peuvent s’employer avec un sujet grammatical animé aussi bien que non-animé: Je me lève; Le brouillard se lève (à la différence de la voix réfléchie qui se réalise auprès un sujet grammatical animé: Je me lave et de la voix passive qui se réalise auprès un sujet grammaitical non-animé: Ça se vend);

b)

ils ne se transforment pas à la voix active parce qu’ils y appartiennent eux-mêmes ; à la différence du passif ils ne présupposent pas d’’omission du sujet sémantique ; p. ex. L’équipe s’est réunie n’est pas la même chose que On a réuni l’équipe ;

c)à la différence du passif ils n’ont pas de limitation temporelle ; on peut dire : La branche s’est cassée (pseudo-réflexif), mais on ne peut pas dire: *Ce plat s’est mangé froid (passif).

1.3.2.1. Fonction asémantique. Le morphème se se désémantise perdant le lien avec l’expression des rapports sujet-objet, parce que le verbe pronominal n’est pas corrélé avec un verbe transitif. On y distingue trois cas :



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